30 octobre, 2006

Le droit de réussir

Pensée du jour :
Les rêves sont des désirs difficilement accessibles.
Il faut travailler dur pour les réaliser,
et on ne sait jamais quand on atteindra le but fixé.

Persévérez, n'abandonnez pas!
Et surtout... croyez toujours en vos capacités.

Car en vous se cache un être unique et merveilleux
qui a le droit de réussir quelque soit votre but,
s'il est important pour vous et s'il vous rend heureux,
vous avez le droit de réussir à l'atteindre.

27 octobre, 2006

Je ne veux pas savoir

Pensée du jour :
Je ne veux pas savoir ce que tu fais pour gagner ta vie. Je veux savoir ce qui te passionne et si tu as le courage de réaliser tes rêves.

Je ne veux pas savoir quel âge tu as. Je veux savoir si tu peux tout risquer pour l'amour, pour tes rêves, pour l'aventure de la vie.

Je ne veux pas savoir sous quel signe tu es né. Je veux savoir si les épreuves de la vie ont ouvert ton coeur, ou si, au contraire, elles l'ont fermé à jamais.

Je ne veux pas savoir si tu dis la vérité ou non. Je veux savoir si tu peux supporter le poids d'une accusation et ne pas trahir ton âme, si tu es fidèle et si je peux ainsi mettre ma confiance en toi.

Je ne veux pas savoir où tu habites ni combien d'argent tu gagnes. Je veux savoir si tu peux te relever après avoir connu le désespoir, courbaturé et meurtri jusqu'aux os, et si tu peux ensuite aider tes enfants.

Je ne veux pas savoir qui tu es ni d'où tu viens. Je veux savoir si tu peux te tenir au milieu du feu avec moi, sans reculer.

Je ne veux pas connaître l'objet de tes études. Je veux savoir ce qui t'a permis de continuer quand tout allait mal. Je veux savoir si tu peux être seul avec toi-même, et si tu apprécies ta compagnie dans les moments de solitude.

26 octobre, 2006

Je ne veux plus me nier

Pensée du jour :
Je ne veux plus me nier, nier mes sentiments, mes besoins, mes attentes. Je veux être respectée, écoutée, entendue.

J'ai le droit de respirer, de me dire : j'ai le droit de dénoncer, de penser, de crier; j'ai le droit d'exister.

Je veux vivre debout, être en paix avec moi-même. Je veux grandir, changer, m'aimer. Je veux rêver, rire, m'épanouir.

J'ai besoin d'air; j'ai besoin de m'écouter. J'ai besoin de décider pour moi, avec moi en fonction de mes besoins à moi, de ce que je veux faire de ma vie.

J'en ai marre de vivre en fonctions des autres, pour être aimée. J'en ai marre de faire des courbettes, pour acheter la paix ou ne pas être seule.

Je choisis de VIVRE; de vivre MA VIE. Je choisis de vivre mes sentiments, mes émotions, mes rêves, mes espoirs. Je veux me vivre jusqu'au bout, telle que je suis.

Je me réserve le droit d'essayer, de me tromper, de recommencer, d'essayer encore, et de réussir.

Pendant la transition : j'accepte ma souffrance, ma déception. J'accepte mon insécurité, mon désespoir. J'accepte ma colère contre les autres; on ne m'avait rien promis. J'accepte ma colère contre moi, de m'être si longtemps niée et oubliée.

Je suis en sevrage car je sais qu'avec le temps ces sentiments vont s'atténuer et disparaître; remplacés par le pardon. Je sais qu'avec le temps mon coeur va guérir d'avoir mal aimé... Et peut-être qu'avec le temps, j'accepterai d'oser à nouveau, tenter l'expérience d'aimer et d'être aimée...

25 octobre, 2006

Avec le temps

Pensée du jour :
... on en vient à connaître la différence
entre tenir la main d'un ami
et enchaîner celui-ci.

... on en vient à comprendre que l'amour
ne consiste pas à s'appuyer sur quelqu'un,
mais à apporter du soutien à cette personne.

... on en vient à accepter ses défaites
avec la dignité d'un adulte
et non plus avec la détresse d'un enfant.

... on en vient à construire sa vie un jour à la fois,
en sachant que rien ni personne
ne peut nous assurer des lendemains heureux.

... on en vient à semer des graines dans un jardin
plutôt que d'attendre de recevoir des fleurs.

... on en vient à réaliser que l'endurance acquise
est attribuable à une force supérieure.

24 octobre, 2006

Cyber espace frontière du virtuel

Pensée du jour :
Quand je ferme les yeux,
Je te vois dans mon esprit.
Je te dessine, te sculpte et te devine.

Face à un écran froid,
Je perçois sans peine ta chaleur.
Un courant magnétique s'installe entre nous
et joint tes doigts aux miens
Par la magie du clavier.

Sans retenu nous nous livrons:
Peines, joies, amour et même, sensations.
Nous nous racontons sans gêne
Comme nous ne le ferions jamais avec nos proches.

Passant du quotidien aux rêves d'avenir.
De la monotonie à l'allégresse de se parler.
Rien ne peut entraver nos paroles.
Personne ne peut effacer cet enchantement.

Celui qui n'a jamais navigué dans le cyber espace
Ne peut comprendre et même s'imaginer
À quel point des liens solides peuvent se former,
Des liens d'amitié immuables
Qui ne cessent de grandir à chaque octet utilisé.

Par la simple pensée nous avons la force
De métamorphoser le virtuel en réel.
De deviner des pleurs, des rires, des sourires
Et de ressentir des joies, des baisers, des caresses.

Lorsque le moment vient de nous quitter
C'est avec tristesse que l'écran s'éteint.
Mais avec combien de soupirs et de tendresse
Nous nous sommes permis pendant quelques heures
D'aimer un corps par son esprit.

23 octobre, 2006

Juste un moment

Pensée du jour :
Si j'avais juste une seconde pour te voir
Juste une minute le temps de te faire une caresse
Juste un après midi pour un moment dans tes bras à rêver
Juste une journée toi et moi
Juste une semaine en vacances loin ensemble
Juste un mois pour me faire une place à tes côtés
Juste un an pour pouvoir m'épanouir à tes côtés
Juste une vie pour te dire : Je t'aime

20 octobre, 2006

Je crois en toi

Pensée du jour :
Je tiens à te dire que je crois très fort en toi,
en ta détermination, en ton imagination, en ton intelligence.

Je sais que tu peux tout,
que tu peux tout entreprendre et tout réussir.

N'abandonne jamais, ne renonce à rien de ce que la vie t'offre,
profite des forces qui sont en toi.

Ne renonce jamais à tes rêves. Je sais que tu peux les réaliser,
que tu peux accomplir tes désirs les plus fous.

Aie confiance en toi et tu verras que tu peux tout.

18 octobre, 2006

J'ai appris

Pensée du jour :
J'ai appris qu'il n'était pas toujours suffisant de pardonner aux autres,
il faut apprendre à se pardonner soi-même.

J'ai appris qu'il ne faut pas être trop persistant à connaître un secret,
le savoir peut changer notre vie pour toujours.

J'ai appris que les diplômes affichés au mur,
ne font pas nécessairement de nous des humains décents.

J'ai appris qu'il est très difficile d'être gentil pour ne pas blesser les sentiments d'autrui, tout en restant ferme pour ce que l'on croit.

J'ai appris que l'on ne peut pas forcer quelqu'un à nous aimer,
tout ce que l'on peut faire, c'est d'être quelqu'un qui peut être aimé.

J'ai appris que l'on continuait d'avancer même après avoir pensé,
qu'il nous était impossible de le faire.

J'ai appris que l'on pouvait faire une petite chose en un court instant,
et que celle-ci pouvait nous donner des maux de tête pour la vie.

17 octobre, 2006

Le silence des mots

Si seulement il existait des mots qui sauraient te raconter,
je trouverais les plus beaux, ceux qui ne peuvent rien briser.

Je les placerais devant toi sur une tendre mélodie et ils t'exprimeraient ce que moi, je n'ai encore jamais dit.

De ta tendresse et de ta douceur, ils sont le lien qui nous unit, car j'y ai trouvé dans ton coeur, un amour infini.

Pourquoi donc cette solitude d'un coeur qui a tant souffert, vient blesser les habitudes comme si elles ne savaient que faire.

Ce matin je pense à toi et les mots dansent devant mes yeux, j'aimerais être dans tes bras, plus un seul mot rien que nous deux.

Dans le silence de chaque mot, il y a tant de parole et d'amour que tout ce que mon coeur trouve beau, grandit à chaque jour.

13 octobre, 2006

Prière d'une secrétaire

Pensée du jour :
Donnez-moi la sagesse d'un juge, la patience de Job et le "cuir" d'un éléphant.

Dotez mes doigts d'une agilité telle qu'ils puissent taper avant ce soir le courrier qu'on aurait dû me remettre dès hier.

Donnez-moi une ouïe tellement sensible que je perçoive la dictée qu'il marmonne, face à la fenêtre, en faisant sonner la monnaie dans ses poches.

Donnez-moi, je vous prie, cette agilité de l'esprit qui me permettra de lui rappeler les rendez-vous dont il ne m'a jamais parlé, et octroyez-moi la diplomatie d'un ambassadeur pour obtenir les sièges de train, d'avion ou de théatre dont il m'a chargée hier, assure-t-il.

Aidez-moi à comprendre qu'après m'avoir dicté une pile de lettres, toutes urgentes, il est trop fatigué pour répondre après le dîner aux gens qui le demandent au téléphone, et que je dois intercaler ces appels entre mes autres occupations et sourire encore.

Offrez-moi, je vous en supplie, une boîte magique d'où je puisse instantanément extraire enveloppes, plumes, crayons, lettres, dossiers, pierres à briquet, billets bizarres et boutons qu'il a perdus.

Aidez-moi à corriger son orthographe atroce et son style barbare, afin qu'en se relisant, il se félicite de la pureté de sa langue... et épargnez-moi les serrements de coeur s'il griffonne à l'encre des corrections que ma machine eut proprement exécutées.

Prenez soin de me rappeler, s'il sort de ses gonds, grogne, se fait hargneux ou sarcastique, que je dois sourire avec grâce et gentillesse, que je me porte bien ou mal.

Ne permettez pas que j'oublie que le téléphone de mon foyer est d'autorité à sa disposition à toute heure incongrue du jour et de la nuit, et qu'il s'attend à une voix enjouée, même si, ruisselante de l'eau du bain, je frissonne à demi-vêtue.

Enfin, gratifiez-moi d'une mystérieuse perspicacité et d'une mémoire encyclopédique des invitations et anniversaires qu'il a omis d'enregistrer.

Mettez le comble à vos faveurs et donnez-moi cette ultime illumination qui me permettra de remplir mes devoirs de : secrétaire, femme de journée, hôtesse, diplomate, comptable, téléphoniste, commis aux dossiers et aux registres, dame de vestiaire, etc...

Si vous m'exaucez, je vous serai éternellement reconnaissante.

«Dire qu'il y en a encore des comme ça, qui se croit tout permis, une chance mon gestionnaire n'est pas comme ça ;).» Courage

12 octobre, 2006

Merci d'être mon amie

Pensée du jour :
Je te remercie de croire en moi lorsque j'ai de la difficulté à croire en moi-même...

De dire ce que j'ai besoin d'entendre parfois au lieu de ce que je voudrais bien entendre, d'être ma complice... et de m'apprendre une autre façon de voir les choses.

Je te remercie de t'ouvrir à moi... de me faire confiance avec tes pensées et tes déceptions et tes rêves... de savoir que tu peux toujours compter sur moi et de me demander mon aide lorsque c'est nécessaire.

Je te remercie de mettre tant d'effort, de tendresse et d'imagination dans notre amitié... de partager tant de si bons moments et de créer tant de si bons souvenirs avec moi.

Je te remercie d'être toujours honnête avec moi, d'être tendre avec moi... d'être là pour moi.

Je te remercie d'être mon amie de si nombreuses et importantes façons.

11 octobre, 2006

Parler

Pensée du jour :
Il est important de dire ce qui nous inquiète.

Verbaliser ce qui nous remet en question, ce qui nous affecte, permet de faire de l'espace en-dedans de soi.

Car, à tout garder en-dedans, on finit par étouffer.

Parler permet de retrouver son équilibre émotif.

10 octobre, 2006

Le sourire

Pensée du jour :
Le sourire ne coûte rien mais il a une grande valeur.
Le sourire enrichit ceux qui le reçoivent sans appauvrir ceux qui le donnent.
Le sourire rend les familles heureuses, les affaires prospères et les amitiés durables.
Le sourire nous repose quand nous sommes fatigués et nous encourage quand nous sommes déprimés.
Le sourire nous réconforte quand nous sommes tristes et nous aide à combattre nos soucis.
Le sourire ne peut être acheté ou volé et n'a de valeur que lorsqu'il est donné.
Si vous rencontrez quelqu'un qui ne vous donne pas le sourire que vous méritez, soyez généreux, offrez-lui le vôtre. Car personne n'a plus besoin d'un sourire que celui qui ne peut en accorder aux autres...

06 octobre, 2006

L'amitié si près de l'amour

Pensée du jour :
L'amitié, que de joie et de peine elle peut vivre, comme l'amour. Les liens d'amitiés sont apparentés à ceux de l'amour, bien des personnes ne croient pas cette parole, cependant elle est si véridique.

Ce sentiment d'amitié est tellement précieux autant que le sentiment de l'amour peut l'être. Riche es-tu si cette chance que de rencontrer dans ta vie une amitié profonde. Elle t'enrichit de trésor inestimable, seule la distance d'un baiser sépare l'amitié de l'amour.

À l'amitié tu te confieras, il connaîtra tes émotions au plus profond de ton coeur. Avec lui tu seras toi-même sans jamais avoir peur d'être ridiculisé, sans jamais avoir peur d'être jugé. L'amitié, c'est celui qui te connaît et qui t'aime quand même. Si jamais à un tournant de ta vie, tu as l'occasion de le croiser, ouvre-lui ta porte car il te fera revivre.

Quoi qu'en pense les amoureux de la terre, le lien premier, celui qui durera, c'est l'amitié. Si dans les moments difficiles de tes amours, l'amitié vient essuyer tes larmes mais surtout vient t'empêcher d'en verser, garde-le précieusement car c'est une perle d'eau douce.

L'amitié, c'est une main tendue, parfois en silence, parfois bruyamment pour venir réveiller tes sens de la raison. Si tu crois en ce sentiment tu te laisseras bercer sur sa douce mélodie.

Cependant, fait attention d'être certain de ses sentiments envers toi, car vois-tu, il ne faut pas mésestimer l'amitié, mais aussi il ne faut pas le surestimer non plus… de cette manière votre amitié ne sera jamais déçue. C'est comme un jardin, il faut le cultiver pour y faire pousser des belles fleurs… On ne saurait conserver longtemps les sentiments qu'on doit avoir pour ses amis et pour ses bienfaiteurs, si on se laisse la liberté de parler souvent de leurs problèmes, de leurs défauts, de leurs incompréhensions. Ce trésor tu dois le partager avec lui aussi.

Finalement, et certainement, si tu t'aimes… l'amitié t'aimeras aussi, il te suffit de l'amadouer, il te suffit de l'aimer!

05 octobre, 2006

Les saisons de l'amour

Pensée du jour :
L'automne de l'amour est tendre; c'est un moment paisible où les amoureux récoltent le fruit du bonheur qu'ils ont semé...

L'hiver de l'amour est beau et touchant comme peuvent l'être tous les souvenirs d'un amour dont c'est le perpétuel printemps.

Le printemps de l'amour est tout simplement magique parce que chaque journée est faite de découvertes et de nouveautés.

L'été de l'amour est chaud et éclatant comme le soleil. C'est une période dorée, marquée par la complicité et les rêves partagés...

03 octobre, 2006

Je peux

Pensée du jour :
Si tu te crois battu, tu le seras;
Si tu n’oses pas, tu n’auras rien;
Si tu veux gagner, mais si tu t’en crois incapable, il est presque certain que tu ne gagneras pas;
Si tu crois que tu vas perdre, tu es perdu;
Car, dans le monde, on se rend compte, que le succès dépend de la confiance en soi;
Tout dépend de notre état d’esprit;
Les batailles de la vie ne sont pas gagnées par les plus forts, ni les plus rapides;
Mais par ceux qui croient en eux… En pensant toujours;
"JE PEUX"

02 octobre, 2006

Âme-soeur

Pensée du jour :
Qu'il soit homme ou femme, l'être qui a trouvé son âme-sœur, c'est-à-dire son principe complémentaire, a la sensation de rencontrer ce principe partout, chez toutes les créatures. Il aime toutes les femmes et tous les hommes sur la terre, il les aime spirituellement et il est heureux à cause de son âme-sœur qui l'a comblé. Il n'éprouve plus ce manque qui l'oblige à chercher continuellement comment y remédier, il sent que toutes les rencontres qu'il fait contribuent à l'enrichir.

Oui, quand vous avez réalisé la plénitude en vous, vous voyez l'autre principe à travers toutes les créatures. Ce sont des expériences inexplicables et inexprimables. Seul celui qui les a réalisées peut les comprendre. Mais jusque-là, quel chemin à parcourir!

Toujours souffrir, être déçu, toujours chercher un être et ne pas le trouver... On se dit: «Ah! le voici, il est là.» Et puis, quelque temps après, on se rend compte que ce n'était pas celui-là. Alors, c'est peut-être un autre?... Et ça continue jusqu'à ce que l'on se rende compte qu'on ne peut le trouver qu'au-dedans de soi. Et lorsqu'on l'a trouvé au-dedans, on le trouve partout au-dehors.